Quand prendre le collagène : matin ou soir ?

Collaboration Commerciale

On ne réalise pas toujours à quel point cette protéine joue un rôle central dans notre organisme. Le collagène, ce mot qu’on croise sur les emballages de soins cosmétiques ou dans les compléments alimentaires à la mode, n’a rien d’anecdotique. Il représente à lui seul une bonne partie de notre structure corporelle : jusqu’à 80 % de la peau, mais aussi les os, les tendons, les cartilages… tout ce qui soutient, relie et maintient.

Mais voilà, passé 25 ans, la machine ralentit. Lentement mais sûrement, la production naturelle de collagène décline. C’est subtil au début, puis les signes se multiplient : une peau moins tonique, des rides qui s’installent, des ongles qui cassent, des articulations qui grincent. Rien de dramatique, mais suffisamment perceptible pour qu’on cherche une parade.

C’est là qu’entrent en scène les compléments. Sous forme de poudre, de gélules ou de boissons, ils promettent de donner un petit coup de pouce à ce que notre corps produit de moins en moins. Et, à condition de les prendre correctement, ils peuvent vraiment faire la différence – que ce soit pour la fermeté de la peau, la résistance des cheveux ou le confort articulaire. Encore faut-il bien comprendre ce que l’on prend… et à quel moment.

Tous les types de collagène ne se valent pas

Une autre idée reçue circule souvent : tous les collagènes seraient interchangeables. En réalité, il existe plusieurs types – chacun avec sa spécialité. Le type I, c’est le roi incontesté quand on parle d’apparence : peau, ongles, cheveux, os… c’est lui qui assure la tenue. Le type II, de son côté, s’adresse plutôt aux articulations et aux cartilages. Quant au type III, plus discret, il agit en tandem avec le type I, notamment sur les muscles et les vaisseaux sanguins.

Et l’origine a aussi son importance. Collagène marin, bovin, porcin… chacun a ses adeptes. Le collagène marin, par exemple, est souvent plébiscité pour sa finesse et sa meilleure absorption, mais il ne conviendra évidemment pas aux personnes allergiques aux produits de la mer. À noter aussi : les formes hydrolysées, appelées peptides, sont les plus efficaces. Leur structure simplifiée facilite leur passage dans le sang, sans trop de pertes en route.

Matin, soir ou après le sport : adapter sa prise selon ses objectifs

Pour la peau, les cheveux et les ongles

Ceux qui cherchent à renforcer leur peau ou leurs ongles ont tout intérêt à miser sur une prise le matin, à jeun. L’estomac vide favorise une absorption rapide, sans interférence avec d’autres nutriments. Cela dit, si la routine matinale ne le permet pas, une prise le soir peut aussi convenir, en particulier si l’on veut soutenir la régénération cellulaire qui se fait surtout durant le sommeil. Une chose à ne pas négliger : la vitamine C. Indispensable à la synthèse naturelle du collagène, elle agit comme un véritable catalyseur. Un verre d’eau citronnée ou un kiwi en accompagnement et le tour est joué.

Pour la récupération musculaire et les performances sportives

Ceux qui bougent, soulèvent, courent ou nagent peuvent aussi bénéficier du collagène – à condition de le prendre au bon moment. L’idéal ? Une heure avant ou juste après l’effort. Ce timing coïncide avec la fenêtre métabolique pendant laquelle le corps assimile particulièrement bien les protéines. Résultat : une meilleure récupération, moins de douleurs, et, sur le long terme, un effet visible sur la masse musculaire maigre.

Pour un sommeil réparateur et la santé cognitive

Plus étonnant : le collagène pourrait aussi jouer un rôle sur la qualité du sommeil et la clarté mentale. Quelques études, encore limitées, suggèrent des effets positifs lorsqu’il est pris le soir, avant le coucher. Certains y trouvent un effet apaisant, propice à un endormissement plus rapide. Ce n’est pas une garantie miracle, mais si l’on cherche à allier soin du corps et nuit paisible, cela mérite d’être tenté.

Si vous avez l’estomac sensible

Enfin, pour celles et ceux dont l’estomac ne supporte pas grand-chose à jeun, inutile de souffrir. Prendre le collagène au milieu d’un repas permet de limiter les désagréments digestifs, sans vraiment compromettre son efficacité. L’essentiel reste de le prendre – et de le prendre régulièrement.

La régularité : plus importante que l’heure précise

C’est peut-être le point le plus sous-estimé : la régularité. Plus que l’heure exacte, c’est la constance qui fait la différence. Un petit rituel quotidien, toujours à la même heure si possible, vaut mieux qu’une prise aléatoire. Beaucoup commencent avec enthousiasme, puis oublient un jour, puis deux… et finissent par se demander pourquoi les effets tardent à venir. En réalité, il faut compter entre 4 et 8 semaines avant de percevoir des résultats concrets. La patience est de mise, mais elle paie.

Optimiser l’absorption : ce qu’il faut faire (et éviter)

Nutriments synergiques

Pour maximiser les effets, certains nutriments sont de précieux alliés. On a déjà parlé de la vitamine C, mais il ne faut pas négliger le zinc et le cuivre, eux aussi impliqués dans la fabrication du tissu conjonctif. Un apport varié, via l’alimentation, reste le plus sûr moyen de couvrir ses besoins : une poignée de noix ici, quelques fruits de mer là, et le corps a ce qu’il faut.

Forme hydrolysée : un choix stratégique

Côté supplément, autant aller droit au but : la forme hydrolysée comme celle de Impulse nutrition est celle à privilégier. Elle assure une meilleure biodisponibilité, donc une efficacité accrue. Le bon dosage dépend de l’objectif. Pour un effet général : 2,5 à 10 g. Pour la peau et les cheveux : autour de 5 à 10 g. Et si ce sont les articulations qui coincent, mieux vaut monter à 15 g.

Ce qui peut nuire à l’absorption

Attention tout de même à certains freins. Les inhibiteurs de pompe à protons, par exemple – ces médicaments contre le reflux gastrique – réduisent l’acidité de l’estomac, et donc l’efficacité de la digestion des protéines. Le tabac, l’alcool, l’excès de sucre et le soleil abîment aussi le collagène déjà présent dans l’organisme. Enfin, le fer peut entrer en compétition : mieux vaut le prendre à distance du collagène pour éviter les mauvaises surprises.

Effets secondaires, précautions et contre-indications

Globalement, le collagène est bien toléré. Mais comme pour tout, il existe des exceptions. Des ballonnements, des nausées ou des éruptions cutanées peuvent survenir chez les personnes sensibles. Il faut aussi vérifier l’origine du produit : marin, œuf, bovin… en cas d’allergie, mieux vaut éviter les risques. Et si les reins posent problème, prudence : une surcharge en protéines pourrait être mal tolérée. Dans le doute, un avis médical s’impose.

Au final, collagène le matin ou le soir ? Tout dépend de votre objectif… mais surtout, de votre constance.

Contenus sponsorisés