En l’absence d’une cavalière : il a décidé d’emmener son arrière-grand-mère au bal du lycée, ils illuminent la soirée

Le bal de fin d’année est souvent attendu par les étudiants avec impatience. On se fait beau et belle pour son (sa) partenaire et on tente de renvoyer l’image du plus joli couple de la soirée. Pour Dakota Wollan, un lycéen de Watford city (USA), les choses ne se sont pas passées comme prévu : en l'absence d’une cavalière, il a décidé de briser les codes en choisissant une compagne totalement inattendue.

La vie nous apprend souvent à être pragmatique. Dakota Wollan était sur le point de rater le bal de promo, mais son père lui a soufflé une idée brillante : emmener son arrière-grand-mère. Une décision pleine de charme et de suspense qui s’est révélée être une expérience absolument inoubliable, comme relayé par la chaîne de télévision, KFYR-TV. 
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Le bal de fin d’année approche mais Dakota n’avait pas de cavalière

Dakota invite ma mamie à l’accompagner au bal de promo

Dakota invite ma mamie à l’accompagner au bal de promo. Source : spm

Dakota Wollan, un lycéen de Watford city high school à Watford city, dans le Dakota du nord, n’avait pas l’intention de participer à son bal de promo. Même s’il y avait des personnes dans sa classe qu’il aurait pu inviter, il n’y avait personne qui le captivait vraiment.

Mais son père a eu une idée brillante. Il lui demanda alors de proposer à son arrière-grand-mère d’être sa cavalière. Une idée à la fois surprenante et audacieuse, que Dakota a sérieusement envisagée.

Il a alors commencé à se préparer pour le grand jour avec beaucoup de joie et d’enthousiasme. “J’ai ce vieux camion qu’elle m’a donné, c’est une Ford de 1985 qu’elle m’a léguée et je l’ai remise en marche. Alors, j’ai pris ce camion et j’ai fait une pancarte”, a-t-il déclaré à la chaîne KFYR-TV.

La nervosité de Dakota commençait à se ressentir chez les membres de sa famille du moment qu’il ne pouvait pas deviner la réaction de son arrière-grand-mère. Heureusement, tout s’est bien passé. Madeleine Miller était ravie de ma proposition. “Je n’ai jamais été au bal auparavant”, a-t-elle déclaré.

Bien que l’invitation ait surpris Madeleine, elle a exprimé son étonnement en disant : “Je me demandais simplement pourquoi il voudrait qu’une femme de 92 ans aille au bal de promo avec lui alors qu’il y a tant de jeunes filles à l’école.” Une question totalement légitime, qui a pu être éclairée plus tard.

Son arrière-grand-mère lui a donné la chance d’assister au bal de promo

Dakota et son arrière-grand-mère Madeleine dans leurs beaux costumes

Dakota et son arrière-grand-mère Madeleine dans leurs beaux costumes. Source : spm

L’âge n’avait aucune importance pour Dakota, car c’est grâce à son arrière-grand-mère qu’il a pu assister au bal. Madeleine a révélé à KFYR-TV qu’elle n’a fréquenté l’école secondaire que pendant une année et demi car son père était tombé malade et qu’elle devait rester auprès de lui à la ferme. De ce fait, elle n’a jamais eu l’occasion d’assister à un bal de fin d’année.

Le grand jour tant attendu est enfin arrivé, et le duo est prêt à vivre un moment inoubliable. A leur apparition, ils captivent tous les regards. Les éloges émanent de toutes parts, saluant leur présence à la fois élégante et audacieuse.

Dakota et Madeleine sur la scène de danse

Dakota et Madeleine sur la scène de danse. Source : spm

« Marcher aux côtés de mon arrière-petit-fils, écouter cette musique pendant que nous avancions et entendre les applaudissements et les cris des gens », se souvient fièrement Madeleine. La danse du couple vole la vedette, faisant certainement verser quelques larmes. C’était un moment tellement inspirant ! Dakota gardera ce souvenir dans les tréfonds de sa mémoire. Quant à Madeleine, elle lui en est éternellement reconnaissante.

Le temps passé en famille : un privilège méconnu !

Le dilemme entre la famille et la distraction est un défi précoce pour la majorité des enfants, suscitant la frustration des parents. Les longues heures de cours sont la principale cause mais les heures passées devant les écrans sont également pointées du doigt par 34% des parents. Interrogée par le journal Le Parisien, la psychologue Geneviève Déjanti le reconnaît. Elle affirme de ce fait que les écrans isolent et détournent l’attention et ce n’est qu’en s’écoutant et en se parlant, qu’on va mieux se retrouver.

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