Ce dernier, venu de Clermont-Ferrand, avait engagé une action en justice contre la détentrice de Pitikok pour un « trouble anormal du voisinage« , exigeant 6000 euros en réparation. Cet épisode, qui avait à l’époque captivé l’attention médiatique, reste emblématique de la querelle entre traditions rurales et tranquillité recherchée.
Un procès remporté par le coq Pitikok
Contre toute attente, la session judiciaire fixée au mardi 5 juillet 2022 s’est achevée plus vite que prévu, mettant fin à toute polémique. Le plaignant de 76 ans a choisi de se rétracter, découragé par la vague de messages hostiles et les menaces subies sur les réseaux sociaux depuis le lancement du litige.
La défense a accueilli cette nouvelle avec enthousiasme : « Cela se termine bien pour Pitikok, qui va pouvoir continuer ses chants matinaux et s’occuper de ses poules, » a déclaré Stéphane Jaffrain, représentant légal de la propriétaire du coq.
Pour l’avocat, ceci représente un triomphe face à certains arrivants en milieu rural, peu tolérants aux bruits inhérents à ce cadre de vie.
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