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Contraception naturelle
En terme de contraception, certaines femmes préfèrent se tourner vers des alternatives plus naturelles. Et pour cause, les pilules de 3ème et 4ème génération, au cœur de nombreux scandales. AVC, phlébites, embolies pulmonaires sont autant de conséquences soupçonnées d’être entraînées par la prise de cette méthode contraceptive. Et les effets indésirables de ces petits comprimés ne s’arrêtent pas là : fatigue chronique, diabète, infections urinaires, allergies alimentaires etc. Rares sont les femmes à ne jamais avoir ressenti les effets secondaires de ces progestatifs.
La méthode Ogino, ou l’abstinence périodique, consiste à éviter d’avoir des rapports sexuels non protégés lorsque la femme est la plus « fertile ». C’est-à-dire pendant les jours qui précédent ou suivent l’ovulation. Il lui faudra d’abord étudier au préalable plusieurs cycles afin de pouvoir déterminer sa période pré et post ovulatoire. A noter que c’est l’une des méthodes les moins fiables, car il est impossible de prévoir avec exactitude la phase d’ovulation, même chez les femmes dont le cycle est extrêmement régulier.
La méthode du retrait consiste quant à elle à retirer le pénis du vagin avant l’éjaculation. Egalement appelée le coït interrompu, cette méthode comporte aussi des risques. En effet, le liquide pré-séminal peut contenir des spermatozoïdes qui peuvent finir par féconder l’ovule.
Autre méthode ? Mesurer la température corporelle. Pendant la période d’ovulation, la température de la femme augmente légèrement. Là encore, le risque 0 n’existe pas. Contraignante, elle demande de réaliser un geste quotidien mais également d’avoir un cycle régulier.
La méthode Billings tient son nom d’un couple de médecins australiens. Plus poussée que les autres méthodes, elle consiste à analyser l’aspect des sécrétions du col de l’utérus afin de déterminer la période de l’ovulation. Cette méthode est également jugée peu fiable car de nombreux paramètres peuvent modifier la consistance de la glaire.
La méthode du retrait consiste quant à elle à retirer le pénis du vagin avant l’éjaculation. Egalement appelée le coït interrompu, cette méthode comporte aussi des risques. En effet, le liquide pré-séminal peut contenir des spermatozoïdes qui peuvent finir par féconder l’ovule.
Autre méthode ? Mesurer la température corporelle. Pendant la période d’ovulation, la température de la femme augmente légèrement. Là encore, le risque 0 n’existe pas. Contraignante, elle demande de réaliser un geste quotidien mais également d’avoir un cycle régulier.
La méthode Billings tient son nom d’un couple de médecins australiens. Plus poussée que les autres méthodes, elle consiste à analyser l’aspect des sécrétions du col de l’utérus afin de déterminer la période de l’ovulation. Cette méthode est également jugée peu fiable car de nombreux paramètres peuvent modifier la consistance de la glaire.