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Il s’agit de sushis ! Eh oui, car à en croire l’expérience qu’a vécu ce jeune anglais en contractant un ver parasite, c’est bel et bien ce fameux plat japonais qui l’a rendu malade. Mais comment est-ce possible au fait ?
Un tour du monde qui a mal tourné…
Un jeune anglais a récemment voulu découvrir la beauté et l’exotisme du continent asiatique. En se rendant dans plusieurs pays d’Asie, à savoir en Thaïlande, en Chine, au Japon ou encore en Corée du Sud, il a été amené à manger tous les jours des sushis, et ce pendant toute la durée de son voyage, à savoir plusieurs mois.
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Peu de temps avant qu’il ne revienne en Angleterre, il s’est plaint de maux de tête et d’estomac atroces. « J’avais perdu beaucoup de poids avant de rentrer chez moi. Je n’arrivais plus à manger quoi que ce soit… », témoignait le jeune anglais à la presse britannique. En rentrant chez lui à Cambridge, il s’est immédiatement rendu à l’hôpital pour obtenir des réponses à ses questions.
Le médecin présent à l’hôpital ce genre-là a découvert une chose terrifiante : son patient avait un ver parasite dans son estomac ! « Une belle bête » avait commenté le médecin, avant d’ajouter : « il s’agit du ténia ! ».
Le ténia
Le ténia est un ver parasite qui se développe au niveau de l’intestin grêle. Il peut vivre jusqu’à 40 ans dans notre estomac. 40 ans à travers lesquels il se développe et grandit, au point d’atteindre dans certains cas plusieurs mètres !
Si ce parasite se transmet généralement par ingestion de viande bovine ou porcine, le ténia peut également se trouver dans la chair de poissons d’eau douce ou encore dans le saumon. « Les larves sont généralement présentes dans du poisson cru, insuffisamment cuit ou mal congelé », explique une spécialiste. Et d’ajouter : « en réalité, contrairement à ce que l’on pourrait croire, il suffit qu’un morceau de poisson soit contaminé pour que la personne soit infectée. Ce n’est pas l’excès de sushis qui cause ce genre d’infection ».
En l’auscultant, le médecin s’est rendu compte que le seul moyen d’aider son patient était de lui faire enlever le parasite de son ventre en procédant à une opération chirurgicale (étant donné que celui-ci ne pouvait pas s’en débarrasser autrement, c’est-à-dire, par voie orale ou fécale). « Aucun médicament ou traitement n’était capable d’aider le jeune homme. J’ai donc dû enlever le parasite par moi-même en l’opérant ! », expliquait le chirurgien.
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Un cas similaire aux Etats-Unis
Un jeune américain a récemment été victime de la même infection. Avec un ver de près de 2 mètres dans le ventre, son histoire avait fait la une de la presse américaine. Celui-ci avait avoué qu’il était un grand amateur de cuisine japonaise, et plus particulièrement de sushis…
Une histoire ahurissante qui montre les dangers évidents de certains aliments mal ou peu nettoyés ou mal conservés. S’il faut bien évidemment faire très attention à ce que l’on consomme au quotidien, il est aussi important de rappeler, comme précité, que ce n’est pas nécessairement la consommation excessive d’un aliment ou d’un plat en particulier qui augmente les risques de contracter un ver parasite. Parfois, il suffit de tomber sur le mauvais morceau…
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