Un homme a vu une femme sur le bord de la route. La vieille femme ne s’y attendait pas

Un acte de bonté et de gentillesse aussi petit soit-il peut changer la vie de la personne qui le reçoit mais aussi celle qui le fait. Faire preuve de bienveillance et d’altruisme envers les autres, sans rien attendre d’eux, est une activité qui peut rendre heureux et représente la base des relations humaines. Découvrez l’histoire très touchante de cet homme, qui prouve que la bonté est une valeur noble. 

En roulant sur la route, en fin de journée, un homme a remarqué une vieille dame sur le bord de la route. Il a directement deviné qu’elle avait besoin d’aide.
L’homme arrêta sa voiture à côté de la sienne. Il s’approcha de la vieille dame arborant un large sourire sur son visage pour la rassurer, mais celle-ci n’était pas vraiment confiante. Personne ne s’était arrêté pour l’aider durant tout le temps qu’elle était là. Et l’aspect peu entretenu de l’homme ne faisait qu’accentuer sa peur et nourrir ses doutes quant à ses intentions.

L’homme avait senti la réticence de la vieille dame. Il pouvait voir clairement qu’elle avait très peur et qu’elle avait surtout froid. « Je suis là pour vous aider madame. Vous ne voulez pas attendre dans votre voiture, c’est plus chaud ? Et en fait je m’appelle Bryan Anderson. » a dit l’homme, d’une voix rassurante.
La dame accepta et monta dans sa voiture, pendant que M. Anderson vérifiait son véhicule. Finalement ce n’était qu’un pneu crevé, mais pour une dame de son âge, c’était un réel souci.

M. Anderson mit directement la main à la patte. La vieille dame engagea la conversation, elle était beaucoup plus rassurée maintenant. Elle l’informa qu’elle était juste de passage et qu’elle venait d’une autre ville.

Après avoir serré les écrous du pneu, l’homme plaça le vieux pneu dans le coffre de la voiture de la dame. Celle-ci le remercia énormément et lui demanda combien elle lui devait. Après ce qu’il venait de faire, elle était prête à lui donner ce qu’il demandait. Cet homme lui a sauvé la vie, en quelque sorte.

M. Anderson, était un peu surpris d’entendre ça de la part de la vieille dame. Demander une somme d’argent contre ce petit service ne lui a jamais effleuré l’esprit quand il a décidé de s’arrêter pour l’aider. La maintenance des voitures n’est pas son vrai métier. En l’aidant à changer le pneu crevé, M. Anderson cherchait à aider une personne en besoin. Un acte de bonté qu’il a fait, pour rendre les nombreux autres gestes de gentillesse qu’il a reçu durant sa vie.
Il refusa donc de prendre l’argent, mais lui demanda autre chose pour le rembourser. « La prochaine fois que vous verrez une personne qui a besoin d’aider, aidez-la et pensez à moi. » lui dit-il.

La vieille dame démarra sa voiture, le remercia une nouvelle fois et chacun d’entre eux continua son chemin. Après quelques kilomètres, la dame s’arrêta dans un petit café pour se reposer et prendre quelque chose à manger. C’était un endroit à l’apparence pitoyable et mal entretenu.

La  serveuse vint vers la vieille dame avec un large sourire. Un sourire qui feignait cacher sa fatigue, après une longue journée de travail. La dame remarqua qu’elle était enceinte, dans son dernier trimestre et se demandait comment une personne qui avait aussi peu pouvait être aussi souriante et généreuse. C’est là qu’elle pensa directement à M. Anderson.

Après avoir terminé son repas, la vieille dame paya avec un billet de 100$. La serveuse se précipita d’aller chercher la monnaie, mais ne trouva pas la dame quand elle revint. Elle remarqua un petit mot sur la serviette : « Vous ne me devez rien, je suis passée par là aussi. Quelqu’un m’a aidée une fois, de la même façon que je le fais avec vous. Si vous voulez vraiment me rembourser, ne brisez pas cette chaine d’amour ». La serveuse lu ces mots, avec les larmes aux yeux et fut encore plus touchée quand elle trouva 4 autres billets de 100$.

Cette nuit, quand elle rentra chez elle, la serveuse n’arrêta pas de penser à ce qui c’était passé. Comment la dame a-t-elle su qu’elle et son mari avaient besoin d’argent ? Surtout qu’elle allait bientôt accoucher. Elle savait combien son mari était préoccupé par cela, elle se mit à côté de lui, l’embrassa tendrement et lui murmura à l’oreille : « tout ira bien. Je t’aime Bryan Anderson. »

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